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Qui a dit que le poisson était compliqué à préparer? Aujourd'hui je vais encore vous prouver le contraire avec cette recette, complète et parfumée, de lotte cuite au four avec des pommes de terre. C'est le plat que j'ai préparé dimanche, avec le poisson que mon mari m'avait rapporté de Sète. Il va quelquefois travailler dans ce secteur et ne manque pas, s'il a le temps, d'aller faire un tour à la poissonnerie à côté de la criée. Il me passe alors un coup de téléphone pour me dire quelles sont les arrivages du jour et je passe commande... J'ai mon poisson tout frais dès le soir et j'ai souvent prévu une recette pour le préparer. Quand j'en ai une grande quantité, comme dans le cas de cette lotte, je coupe des morceaux que je congèle à plat, puis je les mets en sachet pour pouvoir les sortir en fonction du nombre de convives. C'est bien pratique et cela permet d'improviser un plat au dernier moment. Ce dimanche, les morceaux de lotte ont été sortis du congélateur le matin puis cuisinés pour le déjeuner. C'est un plat unique qui cuit tout seul au four. La préparation prend tout au plus 10 minutes. Ensuite le plat cuit tranquillement, presque sans surveillance. C'est idéal quand on reçoit, cela permet de consacrer plus de temps aux autres plats, ou tout simplement de passer du bon temps avec les invités, sans stress! Alors, convaincus? Il ne vous reste plus qu'à mettre ce plat au menu et me donner vos impressions. A la belle saison, remplacez les tomates séchées par des tomates fraiches. Vous pouvez également ajouter des olives ou des câpres. Présentez en accompagnement quelques carrés de citron et n'oubliez-pas de mettre au frais une bonne bouteille de vin blanc. Si on veut rester dans le même terroir, on peut servir en accompagnement un Picpoul de Pinet , vin blanc sec fruité et parfumé, avec un rapport qualité-prix imbattable! Vous connaissez Sète ? C'est avant tout une ville ouverte sur la mer que l'on nomme aussi "Venise languedocienne". C'est le premier port de pêche du littoral français méditerranéen. De loin elle apparait comme une ile, coincée entre la mer et l'étang de Thau. Les abords de l'étang ne manquent pas non plus de charme et d'attractions diverses: les villages de Bouzigues, Mèze, Marseillan, avec leurs parcs à huitres et l'arrivée du Canal du Midi... et bien sûr Sète dominée par le Mont Saint-Clair (182 m) qui fait penser à une baleine surplombant la mer, célébrée par Paul Valéry et Georges Brassens... Les herbes aromatiques apportent un parfum extraordinaire à cette recette. Ici il n'y a qu'à se baisser pour trouver au bord des chemins, selon la saison, du thym, du romarin, du fenouil sauvage... Autre solution pour ceux qui habitent en ville, et bien mieux que les herbes sèches, les petits pots de thym, romarin, origan ou marjolaine que l'on trouve dans toutes les jardineries. J'en ai toujours quelques pots dans ma cuisine. C'est très décoratif et plus durable que les fleurs... j'adore y passer la main pour que leur parfum embaume! Lotte Safranée au Four, Parfums de Garrigue Pour 4 personnes: 800 g de filets de lotte 2 oignons rouges 100 g de tomates séchées 8 pommes de terre 2 gousses d'ail 1 citron 1 bouquet d'herbes aromatiques 1 pincée de filaments de safran 10 cl de vin blanc 10 cl d'eau tiède 2 c. à soupe d'huile d'olive Sel, poivre Allumez le four th 6/180°C.  Épluchez l'ail, les oignons et les pommes de terre. Découpez la lotte en gros morceaux. Mettez les tomates séchées à tremper dans un peu d'eau chaude. Dans un grand plat allant au four, réunissez les pommes de terre coupées en rondelles assez fines, les oignons émincés, l'ail haché, le zeste de citron râpé et les tomates coupées en petits dés. Ajoutez les herbes et l'huile d'olive, du sel et du poivre, mélangez rapidement avec les mains. Posez les morceaux de poisson sur les légumes. Diluez le safran dans l'eau tiède. Ajoutez sur le poisson avec le vin blanc, salez, poivrez. Faites cuire au four pendant 45 minutes. Imprimez la recette

Source: devousamoi-dominique.blogspot.com

En ce moment, et depuis quelques temps déjà, je suis plongé dans la lecture d e la sage de Georges R. R. Martin " A song of Ice and Fire " ("Le Trône de Fer" en français) qui a inspiré le nouvelle série de HBO (Games of Thrones). C'est une passionnante saga de 'dark fantasy', qui se situe au Moyen-âge d'un monde inventé. Les banquets sont nombreux dans la saga, et l'auteur prend souvent le soin de décrire ce qui est servi à table. Cette sauce médiévale au cumin qui accompagne à merveille le poulet grillé aurait tout à fait sa place lors d'un repas de la maison Stark à Winterfell. En tout cas, même si vous n'êtes pas amateur de ce genre de lecture, rien ne vous empêche de goûter cette sauce, que j'ai adapté du livre de Jeanne Bourin , qui l'a elle-même adapté du Viandier de Taillevent (XIVe siècle) . J'ai utilisé de la purée d'amande (qu'on trouve facilement en boutique bio) pour obtenir une texture lisse et crémeuse. Ingrédients: 1 bol de bouillon de poule 2 cuill à soupe de purée d'amandes 1/2 verre de vin blanc sec le jus d'1/2 citron 1 pincée de gingembre 2 cuill à café de cumin en poudre Préparation: Mélangez bouillon, purée d'amandes, vin blanc et sel. Faites chauffer à feu moyen, en remuant régulièrement (la purée d'amandes a tendance à se déposer au fond de la casserole). Délayez les épices en poudre avec le jus de citron, et ajoutez à la sauce chaude. Faites bouillir quelques instants et servez avec du poulet rôti ou bouilli. Bon appétit!

Source: gay-dans-les-coings.blogspot.com

ous sommes entrés dans la semaine de Pâques. Il fait rarement beau pendant cette semaine. Et pourtant c’était toujours à cette période que l’on étrennait nos vêtements neufs de printemps . Nos anciens vêtements du Dimanche de l’année précédente étaient quant à eux rétrogradés, on ne les portait plus qu’en semaine. Malgré nos chaussettes blanches montantes, nous nous gelions les guiboles. Après la messe nous avions le droit d’aller jusqu’au clos, le jardin ouvrier de mon père , même en étant endimanché. La lapine blanche était dehors et sous le cerisier, une poule en chocolat enveloppée d’un papier cellophane nous attendait. Ah le bonheur de la découverte et le plaisir de la dégustation, car l’ordinaire de notre goûter, c’était plutôt les barres de chocolat épaisses, alors ce chocolat noir et brillant au parfum puissant qui fondait lentement en inondant nos bouches de délices, c’était la récompense du tourment de la confession, et le doux pêché de gourmandise renouvelé. Les plaisirs lorsqu’ils sont rares ont plus de valeur. 1. Parer la viande et la couper en cubes de 5 cm Dans une cocotte en fonte, faire fondre le beurre. Mettre la farine dans un sachet plastique, enfermer les morceaux de viande, gonfler avec la bouche et secouer, ainsi les morceaux de viande seront bien enduit de farine sur toutes leurs faces. Quand le beurre est mousseux, mettre les morceaux de veau et les faire revenir. Remuer souvent. Mettre les oignons nouveaux avec 10 cm de la tige verte et couper les par le milieu. 2. Mouiller avec le vin blanc et l’eau. Saler et poivrer, mettre le mélange d’olives épicées à la marocaine. Couvrir et laisser cuire à l’étouffer à feu très doux pendant 60 minutes, en vérifiant tout de même la quantité de liquide de temps en temps. 3. Servir avec des champignons à la nivernaise dans une croûte feuilletée bien chaude. En accompagnement un Bourgogne aligoté blanc, ou un Corbières Domaine Georges Bertrand 2007 Je vous souhaite une douce soirée. Pour tout ceux qui habitent le Sud Ouest, soyez prudents demain le vent va souffler fort, rentrez bien tous les objets qui risquent de s'envoler.

Source: canotte.blogspot.com

Infos pratiques: - Quantité : 6 personnes - Difficulté : ☆ ☆ ☆ ☆ ☆ - Préparation : 30 minutes - Cuisson : 35 minutes La liste de courses : - 1 kg de topinambours, - 4 pommes de terre, - 10 cl de crème fraiche liquide, - 6 tranches de bacon, - Huile d'olive (pour la décoration), - Sel et poivre. La liste des ustensiles : - 1 grande casserole, - 1 poêle, - 1 économe, - 1 mixeur plongeant. Ça faisait longtemps que je n'avais pas posté du salé, par ici... Malgré le retour du soleil, il fait encore nuit relativement tôt et la fraicheur s'invite encore régulièrement chez nous. Pour réchauffer un peu l'atmosphère, je vous propose une soupe (oui, encore une soupe, mais la soupe c'est bon, c'est facile à faire et ce n'est pas cher ! Comme dirait Georges, "what else ?" . Et puis, moi, la soupe c'est un peu ma marotte) . J'ai déterré cette recette d'un vieux magazine (sur les soupes, bizarrement) que j'avais acheté il y a plusieurs années ! C'est du Cyril Lignac, ce jeune chef aussi médiatique que sympathique et à l'accent chantant de l'Aveyron. Pas de tour de passe-passe ici, c'est simple mais succulent. Le topinambour est un vieux légume oublié au léger goût d'artichaut. Pendant la deuxième guerre mondiale, c'est lui qui remplaçait les pommes de terre et, depuis, il est un peu tombé dans l'oubli et c'est bien dommage... A la maison, tout le monde a vraiment adoré ce velouté original à la saveur si délicate que j'ai déjà refait plusieurs fois (et que je referai encore avant le retour des beaux jours !) ! Concrètement, cuisinons... 1. On commence par éplucher les topinambours et les pommes de terre, on les coupe en morceaux, on les rince et on place le tout dans une casserole remplie d'eau salée (pour l'eau, on en met juste assez pour recouvrir les légumes) . On porte à ébullition et on laisse cuire une petite demi-heure à feu doux : c'est prêt quand les légumes sont cuits. 2. On mixe la préparation jusqu'à obtenir une consistance très onctueuse. On ajoute alors la crème liquide et on remet un coup de mixeur. On rectifie l'assaisonnement. 3. Au moment de servir, on fait chauffer une poêle à blanc, c'est à dire sans matière grasse, et on fait faire un aller-retour à nos tranches de bacon que l'on réserve sur du papier absorbant pour ôter l'excédent de graisse. On découpe le bacon en lanière. 4. Dans l'assiette/le bol, on verse le velouté, on dépose quelques gouttes d'huile d'olive et les lanières de bacon. Servez bien chaud ! Astuces : - Cyril Lignac conseille, pour "plus de gourmandise" de servir ce velouté avec une chantilly au bacon (on mixe la crème liquide et le bacon et, ensuite, on monte tout simplement la crème). - Cette soupe est très simple à réaliser mais relativement longue. Qui ne s'est jamais attelé à l'épluchage de topinambours ne peut pas comprendre le pourquoi du comment... Ces petits tubercules tout biscornus sont une vraie plaie à éplucher. - Si on veut transformer ce velouté en soupe végétarienne, il suffit de ne pas ajouter le bacon au moment du service. On peut aussi imaginer en faire une entrée végétalienne, en n'ajoutant pas de crème. C'est excellent aussi et le goût de topinambour n'en sera que renforcé. En conclusion, dégustons !

Source: letabliergourmet.blogspot.com

1/2 cabri nettoyé (jeune chevreau de 4 kg.) soit environ 2 kg de viande, os inclus 1 kg de mousserons de la st Georges (tricolome printanier) à défaut, utilisez des morilles (fraîches ou séchées) 1 kg de tagliatelles fraîches 1 l de créme fraîche épaisse 1/2 l de vin blanc sec 2 têtes d'ail frais (nouveau) 2 feuilles de laurier (si possible fraîches) 2 branches de thym (si possible fraîches) 8 branchioles de persil plat (pour la décoration) beurre huile d'olive sel, poivre Préparation ÉTAPE 1 Coupez le cabri comme un lapin, en morceaux/portions. ÉTAPE 2 Faites dorer doucement dans une cocotte en fonte tous les morceaux au beurre et à l'huile d'olive (moitié/moitié), incorporez les gousses d'ail en fin d'opération. ÉTAPE 3 Quand ils sont bien colorés, salez et poivrez, mouillez avec le vin blanc, incorporez le thym et le laurier. Mettez le couvercle et laissez cuire 15 min. ÉTAPE 4 Ajoutez les champignons et la créme fraîche, mélangez doucement, et laissez mijoter 30 min à feu trés doux dés ébullition, à couvert. ÉTAPE 5 Faites cuire les tagliatelles (al'dente), égouttez-les, disposez-les sur assiettes chaudes en forme de nid. ÉTAPE 6 Disposez un morceau de cabri au milieu du nid de pâtes, la sauce et les mousserons autour. ÉTAPE 7 Pour mieux apprécier ce plat qui n'est autre que "Le petit Jésus en culotte de velours", je vous conseille un Chenin Blanc d'Afrique du Sud, trés frais.

Source: cuisineaz.com

J'adore le gâteau à la carotte ou carrot cake ! Il y en a d'ailleurs déjà de très nombreuses versions sur mon blog. J'en ai moins fait qu'à d'autres périodes, je ne sais pas pourquoi ! Le mélange d 'épices Georges loves Strasbourg sucré , composé de cardamome, cannelle, coriandre, fenouil, gingembre, anis, badiane, macis et girofle, un condensé de saveurs épicées qu'on associe notamment à la période de Noël en Alsace, m'a donné envie de m'y remettre ! Si on associe d'emblée ce gâteau à des traditions américaines, il est intéressant de savoir qu'on en trouve aussi des versions dans les vieux grimoirs alsaciens ! La carotte est en effet un légume de base du terroir de la région et ce type de douceur se préparait facilement et se conservait quelques jours, gagnant même en arômes au fil du temps. J'ai bidouillé ma version, en utilisant la farine de petit épeautre que je trouve agréable en pâtisserie car elle apporte douceur et moelleux aux gâteaux. Elle a en plus l'avantage d'être bien tolérée par les personnes légèrement sensibles au gluten et comme nous le réintroduisons doucement chez Augustin, elle est tout à fait adaptée. La quantité de sucre est une grande question ! J'ai indiqué entre 40 et 60g, il y a déjà le sucre de la compote, celui des carottes et du nappage, du coup, je n'avais pas envie de sursucrer le gâteau. Si vous êtes habitué à consommer des pâtisseries sucrées de manière "traditionnelle", partez sur 60 g, sinon, 40 seront suffisants. Je vous conseille de diminuer petit à petit les doses de sucre dans les desserts pour habituer votre palais. Je pense qu'une version sans gluten avec 100 g de farine de riz complet ou de sarrasin et 20g de fécule, serait aussi réussie et savoureuse. Bien entendu, ça marchera aussi avec de la farine de blé ou d'épeautre. N'hésitez pas à varier les graines ou autres oléagineux... Et si vous recevez du monde, doublez les doses pour monter un gâteau à deux étages qui en jette !! Pour un gâteau de 18 cm de diamètre (4 personnes) * 100 g de compote de pomme (1 pomme moyenne cuite et mixée, ça fait l'affaire !) * 40 à 60 g de sucre complet * 40 g d'huile végétale (j'ai utilisé de l'huile de tournesol dans cette version, j'utilise aussi souvent une huile d'olive douce en goût quand je pâtisse) * 120 g de farine de petit épeautre * 1 belle cuillère à soupe de poudre à lever * 1 pincée de bicarbonate * 1 pincée de sel * 1 belle cuillère à café d'épices Georges loves Strasbourg sucré * 100 g de carottes râpées finement * 25g de graines de tournesol + 25 g de graines de courge ou l'équivalent en noisettes, noix concassées grossièrement Pour le topping (facultatif, mais délicieux !!) * 200 g de fromage blanc de brebis (ou de préparation au soja pour un équivalent sans lactose) * 2 cuillères à soupe de sucre blond * le zeste d'un citron * une pincée d'épices * quelques graines Environ 3 heures avant d'en napper le gâteau, préparer le glaçage. Egoutter le fromage blanc dans une étamine au-dessus d'un bocal au frais. Préparer le gâteau. Préchauffer le four à 180°. Mélanger la compote, le sucre et l'huile. Ajouter la farine, la poudre à lever, le bicarbonate, le sel et les épices. Mélanger. Ajouter les carottes râpées et les graines. Mélanger. Verser dans un moule chemisé de papier cuisson. Enfourner pour 40 à 45 minutes. Laisser refroidir un peu avant de démouler. Fouetter rapidement le fromage blanc égoutté avec le sucre, le zeste de citron et une pincée d'épices. En recouvrir le gâteau. Décorer avec quelques graines et pourquoi pas quelques zestes de carottes et de citron. Se régaler tout de suite ou conserver le gâteau au frais jusqu'au moment du dessert.

Source: farinedetoiles.blogspot.fr

Et si on changeait un peu de la traditionnelle bûche ? (on en parlait l'autre jour avec les enfants...on continue à bien aimer le concept et la tradition, mais on se disait qu'on n'avait pas vraiment de souvenirs de bûches de pâtissiers transcendantes...ou alors qu'après les repas copieux, on ne les appréciait peut-être pas à leur juste valeur !). Une base de gâteau au citron vraiment simple à réaliser et cuit à la vapeur (je trouve le résultat vraiment top, tout en moelleux...), un fromage blanc égoutté bien vanillé en guise de garniture et quelques fruits de saison pour ce gâteau à la fois gourmand et léger ! Je revendique pour le moment le concept du layer cake un peu foutraque !! Pas de proche à douille, on fait tout ça à la cuillère, au couteau ; on dispose les fruits un peu à l'arrache et on assume ! Bon, j'aurais pu être un tout petit peu plus aventurière et couper le gâteau qui avait bien levé en trois parties pour un woauh effect un peu plus marqué...la prochaine fois, promis, je me lance (ou je laisse Matthieu et sa précision plus légendaire que la mienne oeuvrer ! mais bon, là, il était en train de façonner du pain au Fournil, du coup, je me suis débrouillée toute seule comme une grande, ce que je sais très bien faire aussi !). Pour les photos, je suis toujours en phase de test ! Ici, elles ont été prises dans notre petit salon où il y a un très beau mur en pierre. Il y fait un peu sombre et surtout l'espace dont j'ai disposé pour mes photos était tout petit, j'aurais presque pu vous faire une photo cadrée plus large pour que vous visualisiez la scène ! Je me suis calée sur un très joli petit meuble à vinyles vintage que Matthieu avait chiné à Oslo, poussant le téléphone et juste à côté de la box internet (peu photogénique, on l'admettra !), cachant un peu la paperasse et le vinyle avec un joli chemin de table blanc. De part et d'autre, il y a du cd et encore du cd (mon chéri aime la musique !) et aussi une très belle cheminée qui ne fonctionne pas pour le moment. C'est chez nous, c'est vivant, mais pour bidouiller du studio photo, il faut bien s'organiser ! Cela dit, il y a un bon potentiel en plan très serré ! Bon ensuite, j'ai dû me dépêcher pour ne pas louper la sortie de l'école de Judith, laissant la vaisselle en plan à la cuisine (ça fait aussi partie du process !), éteignant quand même la bougie histoire de ne pas mettre le feu à la maison et enfilant manteau en laine et bottes à l'arrache !! Si on en revient au gâteau, n'hésitez pas à vous approprier la recette avec d'autres farines (en version sans gluten pourquoi pas avez farines de riz/et ou sarrasin ou châtaigne) d'autres fruits (en jus dans la pâte du gâteau et en garniture), d'autres épices, j'aime bien l'idée de donner des pistes que chacun peut choisir de suivre à la lettre ou pas ! (je fais partie de la catégorie des "ou pas" quand il s'agit de suivre les recettes !). Pour un gâteau (moule de 18 cm de diamètre, 4 à 6 convives) Pour le gâteau * 175 g de farine de petit épeautre * 25 g de fécule de maïs * 1 pincée de sel * 1 cuillère à café de bicarbonate * 40 à 50 g de sucre de canne blond * 1 cuillère à café de vanille (je vous recommande la vanille de Georges Colin ) * 125 g de yaourt * 2 oeufs * 2 cuillères à soupe d'huile d'olive * 1 cuillère à soupe de vinaigre de cidre * le jus et le zeste d'un citron bien juteux (ou 1 citron et 1 moitié s'il paraît un peu pauvre en jus !) Pour la garniture * 500 g de fromage blanc de brebis * 2 cuillères à soupe de sucre de canne blond * 1 cuillère à café de vanille * les graines d'une moitié de grenade * 2 ou 3 oranges * quelques zestes d'agrumes Préparer le fromage blanc quelques heures avant : le verser dans une étamine ou un torchon fin, le disposer dans un bocal comme un petit baluchon (on peut disposer un élastique autour de l'ouverture du bocal pour faire tenir le linge ou le fermer en faisant tenir le linge sur les côtés si c'est un bocal type conserve...vous me suivez ?!) et le laisser s'égoutter au frais environ 3h. Préparer le gâteau quelques heures avant également. Mélanger les ingrédients dans l'ordre de la recette. Verser dans un moule chemisé de papier cuisson et mettre à cuire à la vapeur pendant 55 minutes. Comme le couvercle de mon cuit-vapeur a tendance à ruisseler un peu, je cale un torchon fin avant de mettre le couvercle pour protéger le gâteau d'éventuelles gouttes d'eau. Laisser refroidir un peu avant de démouler. Puis, le laisser refroidir complètement sur une grille. Pendant ce temps, fouetter rapidement le fromage blanc égoutté avec le sucre, la vanille en poudre et quelques zestes d'agrumes. Préparer les graines de grenade et les suprêmes d'orange (je les ai disposés sur un torchon propre en attendant pour qu'ils s'égouttent un tout petit peu...mais pas trop !). Découper le gâteau en deux ou en trois avec délicatesse, en passant un couteau à dents qui marche bien dans le gâteau. Disposer la base sur le plat de service. Garnir avec un peu de fromage blanc, quelques graines de grenade et quelques suprêmes d'orange. Disposer la deuxième (qui est peut-être la dernière couche du gâteau !) et garnir à nouveau de la même manière. Disposer la dernière couche et garnir de la même manière, en variant pourquoi pas la déco en fonction de vos talents en la matière ! (je tâtonne encore un peu, je crois que je devrais aller vers plus de sobriété...!). Conserver quelques heures au frais et sortir environ 20 minutes avant de déguster.

Source: farinedetoiles.blogspot.fr

J'aime toujours bien varier les assaisonnements de mes salades et de temps en temps y ajouter quelques fruits qui pepsent l'ensemble. Quand on choisit de manger des légumes de saison et que ça tourne un peu sur les mêmes choses en fin d'hiver, c'est une bonne manière d'avoir des saveurs différentes et de ne pas se lasser ! La purée de cajou amène de la douceur et de l'onctuosité au chou et au pamplemousse. Pour 4 personnes, en accompagnement * 1/2 chou blanc * 1 pamplemousse * 1 belle cuillère à soupe de purée de noix de cajou ( Jean Hervé , une valeur sûre !) * un peu de poivre * un peu de sel ( celui aux agrumes de Georges Colin était parfait avec cette salade !) Emincer le chou finement (robot, mandoline ou couteau !). Dans un petit bol, mélanger la purée de noix de cajou avec le jus d'un demi pamplemousse, un peu de sel et de poivre. Verser sur le chou. Ajouter le reste de pamplemousse en morceaux. Mélanger et se régaler !

Source: farinedetoiles.blogspot.fr

J'adore le chou blanc émincé finement !! Son côté juteux, le fait de pouvoir l'assaisonner de différentes manières et de l'amener ainsi vers divers voyages des saveurs, j'ai l'impression que ça me fait du bien d'en manger, tout simplement ! Avec quelques framboises et une sauce toute simple, quelques graines de tournesol pour le côté croquant, c'est une salade simple et délicieuse ! Pour 4 personnes (en accompagnement) * 1/2 beau chou blanc * environ 100 g de framboises * 3 cuillères à soupe de vinaigre Melfor Côté Sud (ou de jus de citron ou de vinaigre de vin blanc) * 3 cuillères à soupe d'huile d'olive * un peu de sel (j'ai utilisé le sel d'Alaé Georges Colin : il est mélangé à des algues et des graines de sésame et je le trouve délicieux !) et de poivre * quelques graines de tournesol Râper le chou à l'aide d'un robot ou d'une mandoline (attention aux doigts !). Assaisonner avec le vinaigre, l'huile, un peu de sel et de poivre. Mélanger. Ajouter les framboises et les graines. Mélanger délicatement et se régaler.

Source: farinedetoiles.blogspot.fr

Un petit plat tout simple avec les moyens du bord : les délicieux poivrons, les non moins délicieuses lentilles de notre Amap et quelques épices savoureuses de la marque strasbourgeoise Georges Colin que je vous conseille vivement, elles sont devenues une base dans ma cuisine ! Pour 4 personnes Pour les lentilles * environ 250 g de lentilles trempées quelques heures (facultatif, mais cela diminue un peu le temps de cuisson et rend les lentilles plus digestes) * 4 cuillères à soupe d'huile d'olive * 2 cuillères à soupe de vinaigre de vin blanc * un peu de sel et de poivre * un peu de zaatar Pour les poivrons * 4 beaux poivrons rouges * 2 oignons * 2 gousses d'ail * un peu d'huile d'olive * un peu de sel et de poivre * un peu de paprika fumé Faire cuire les lentilles dans de l'eau additionnée d'un peu de bicarbonate et de thym séché pendant environ 20 minutes. Egoutter. Assaisonner avec l'huile, le vinaigre, un peu de sel et de poivre et un peu de zaatar. Dans une poêle, faire revenir les poivrons, les oignons et l'ail émincés dans un peu d'huile d'olive avec un peu de sel, de poivre, de paprika fumé, pendant une dizaine de minutes. Si besoin, ajouter un petit peu d'eau. Mélanger les lentilles et les poivrons. Goûter pour ajuster les saveurs à votre convenance et se régaler !

Source: farinedetoiles.blogspot.fr

J'aime beaucoup faire des tartes au chocolat que je customise en fonction des saisons, des sensibilités alimentaires, et surtout de mes envies !! Le chocolat se marie bien avec les fruits et j'en fais souvent des versions avec quelques fruits frais sur le chocolat pour lui apporter une touche de fraîcheur (en ce moment avec des quarties de clémentines, des rondelles d'orange, des graines de grenade, c'est un délice !). En cette période où Noël approche à grands pas, j'ai eu envie de lui associer des épices : j'ai utilisé le mélange d'épices Georges Loves Strasbourg de la marque alsacienne Georges Colin qui est composé de cardamome, cannelle, coriandre, fenouil, gingmebre, anis, badiane, macis et girofle. Si vous n'avez pas cet harmonieux mélange sous la main, un mélange type pain d'épices fera aussi très bien l'affaire ! Vous pouvez également réaliser votre propre mélange ou opter pour simplement l'une ou l'autre des épices, en fonction de vos préférénces et de ce que vous avez chez vous. J'ai utilisé de la farine de seigle, je trouve que sa saveur un peu typée se marie bien avec le chocolat et les épices (le pain d'épices est traditionnellement à base de farine de seigle, c'est dire !) et un petit peu de levain de seigle. Il rend la pâte plus digeste et un peu plus moelleuse : c'était un peu moins flagrant que dans mon essai de quiche aux poireaux avec du levain de blé et une pâte à base d'huile d'olive, mais il faut dire que le levain de blé était super actif quand je l'ai utilisé, alors que celui de seigle a un peu de mal à se rebooster selon mon chéri, avec ces températures plus fraîches. Si vous n'avez pas de levain de seigle, n'hésitez pas à le remplacer par du levain de blé ou à supprimer le levain, ça sera forcément différent, mais très bon aussi ! Dans ce cas, la pâte n'a pas besoin de reposer aussi longtemps qu'avec le levain. Si vous êtes sensible au gluten, pensez à l'alliance chocolat et farine de sarrasin. Si vous êtes sensible au lactose, vous pouvez remplacer la crème classique par de la crème de coco ou de soja. Pour une tarte de 24 à 26 cm de diamètre Pour la pâte * 200 g de farine de seigle T110 * 20 g de levain de seigle (facultatif, ça marchera aussi sans !) * 100 g de beurre doux ou demi-sel (à votre convenance) à température ambiante * 3 cuillères à soupe de sucre complet * 1 cuillère à café de mélange à pain d'épices * environ 50 g d'eau Pour la garniture * 200 g de chocolat de dessert à 70% de cacao * 200 g de crème liquide * 1 cuillère à café d'épices à pain d'épices * un peu de fleur de sel (facultatif) Préparer la pâte la veille pour le lendemain ou environ 8 h avant de réaliser la tarte, si vous utilisez le levain. Sinon, vous pouvez préparer cette pâte environ 1 h avant. Au robot ou à la main, pétrir les ingrédients, en ajoutant l'eau au fur et à mesure. En fonction de votre farine, il faudra sans doute ajuster un peu la quantité. Former une boule homogène et laisser reposer à température ambiante sans un saladier couvert, pendant environ 8h, version avec levain, pendant 1 heure, version sans levain. Préchauffer le four à 180°. Etaler la pâte sur un plan de travail fariné, en gardant un petit morceau pour quelques formes décoratives. Disposer dans le moule beurré. Piquer à la fourchette. Enfourner pour 20 minutes de cuisson à blanc. Former les petites étoiles, les disposer sur une petite plaque chemisée de papier cuisson et enfourner pour 10 minutes de cuisson. Laisser refroidir un peu. Préparer la ganache. Faire chauffer la crème à feu doux dans une petite casserole. Concasser le chocolat en petits morceaux. Quand la crème est bien chaude, retirer du feu. Ajouter les petits morceaux de chocolat, les épices et couvrir pour laisser fondre tranquillement le chocolat pendant 5 minutes. Fouetter ensuite le mélange pour bien incorporer le chocolat et obtenir une texture lisse. Verser sur le fond de pâte. Décorer avec les petites étoiles et un peu de fleur de sel si vous le souhaitez.

Source: farinedetoiles.blogspot.fr

Je me dis souvent que le nom de mon blog, imaginé il y a bientôt 12 ans, est toujours d'actualité car il s'adapte toujours à la grande présence de la farine dans mon univers culinaire : j'aime faire de la pâte, c'est un fait ! Décliner les pizza en fonction des légumes de nos paniers de l'Amap, un exercice que nous faisons souvent, Matthieu ou moi, lui en mode levain, moi en mode levure, parfois, pour un peu plus de flexibilité : ça permet de changer un peu et franchement, sur une bonne base de pâte, ici, plutôt épaisse (on assume !), on peut s'amuser à beaucoup de variantes. J'aime associer le panais à la noisette et au citron et forcément, avec le parmesan et sa pointe d'acidité, c'était un bon allié à la douceur du panais. Un peu de poivre fumé juste avant de servir, on s'est tous régalés (même Judith qui n'est pas une fan absolue du panais, mais qui se réconcilie peu à peu avec lui, c'est le céleri qui a pris de relais !!). Pour les photos, j'ai dû me hâter un peu, j'aurais bien tester d'autres possibilités, mais Augustin en pause-dej de son stage de ping-ping avait grand faim !! C'est la vraie vie par ici ! Pour 4 pizza individuelles ou 1 grande Pour la pâte * 300 g de farine de blé (ou d'épeautre) T110 * 5 g de sel * 5 g de levure de boulanger sèche * 180 g d'eau * 25 g d'huile d'olive Pour la garniture * 1 beau panais (environ 500 g) * 2 gousses d'ail * un peu d'huile d'olive * un peu de sel, de poivre, d'herbes de Provence * 4 cuillères à soupe de fromage blanc (ou de ricotta) * un peu de jus de citron et quelques suprêmes * quelques noisettes * quelques copeaux de parmesan * quelques herbes fraîches * un peu de poivre fumé Georges Colin Préparer la pâte. Au robot ou à la main, pétrir la farine, le sel, la levure, ajouter l'eau peu à peu, puis l'huile, pendant une dizaine de minutes. La pâte doit se décoller des parois du bol. Laisser reposer dans un saladier légèrement huilé, sous un torchon légèrement humide, dans un endroit tiède (à température ambiante si le temps est chaud, sinon, près d'un radiateur ou dans le four préchauffé à 50° puis éteint, ou avec une fonction levage si votre four le permet) pendant 1h30 à 2h. Laver et éplucher le panais. Le couper en cubes. Les faire revenir dans une poêle dans un peu d'huile d'olive, avec l'ail émincé, un peu de sel, de poivre, de thym, à feu moyen pendant une quinzaine de minutes. Ajouter un petit peu d'eau si besoin. Mixer le tiers des panais avec le fromage blanc et 2 cuillères à soupe d'huile d'olive. Préchauffer le four à 240° (ou en mode pizza si votre four le permet), idéalement avec une pierre réfractaire, sinon une plaque de cuisson. Diviser la pâte en 4 et façonner 4 boules. Les étaler sur un plan de travail légèrement fariné ou directement sur une feuille de papier cuisson. Garnir avec la préparation panais-fromage blanc. Disposer les cubes de panais restants, quelques copeaux de parmesan et quelques noisettes. Enfourner pour 10 minutes environ. Juste avant de servir, arroser d'un peu d'huile d'olive et de jus de citron et décorer avec quelques morceaux (ou suprêmes, mais j'adore la peau du citron!) de citron, quelques herbes fraîche et quelques copeaux de parmesan. Ajouter un peu de poivre fumé à votre convenance.

Source: farinedetoiles.blogspot.fr

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