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J’ai découvert les topinambours comme beaucoup de gens j’imagine, quand ce légume ancien est revenu à la mode sur les cartes des restaurants et ensuite sur les étals. J’aime beaucoup les légumes "dits racines" comme le navet, le celeri-rave, la betterave, le panais, les crosnes, etc. Le seul que je n’aime pas trop est le radis sauf tout jeune et fraichement cueilli mais comme je le mange avec du beurre et du pain, c’est pas terrible. Quand je trouve de beaux topinambours, je me précipite pour préparer une soupe, un purée ou une crème que je congèle en partie. C’est un légume très fin, avec un goût d’artichaut dit-on (il faudrait que je regoûte des artichauts que je n’aimais pas petite!). Ce légume adore le croquant des fruits secs pour l’accompagner comme des noisettes ou amandes. En cherchant une nouvelle recette avec des topinambours, j'ai lu cette recette de Michel Troisgros qu’il a crée pour la Ligue contre le cancer. Elle est parfaite, rapide et peut être, aussi bien chic que classique sur la table. La version d’origine est avec des amandes. Je n’en avais pas, j’ai mis des noisettes. Il l’a sert avec une crème fouettée, j’ai fait l’impasse, mais pour un diner chic pourquoi pas. Crème de topinambours, fourme et noisettes adaptée d'une recette de Michel Troisgros Ingrédients pour 6 personnes : - 1 kg de topinambours - 1 litre de lait - 10 cl de crème fleurette - 200 g de fourme d’Ambert - 50 g d'amandes effilées (noisettes pour moi) - 1/2 citron jaune - sel, poivre du moulin Epluchez les topinambours et rincez-les; mettez-les dans une casserole, ajoutez le lait, salez légèrement et faites-les cuire à petits bouillons pendant 30 minutes. Ensuite, mixez-les en détendant peu à peu avec le liquide de cuisson, jusqu'à obtention de la consistance idéale d'une soupe ou d'une crème, puis passez à la passoire fine. Goûtez et rectifiez l'assaisonnement. Ce que je n’ai pas fait : Montez la crème fermement, assaisonnez-la de jus de citron, de sel et de poivre, et gardez-la au froid. Détaillez la fourme d’Ambert en fin copeaux. En prévoir 2 par assiette. Faites dorer les amandes au four doux (thermostat 6). Ou les noisettes cassées en éclats. Versez la soupe dans les assiettes, parsemez avec les amandes ou noisettes et les copeaux de fourme. Mettez la crème fouettée bien froide à part pour ceux qui veulent rajouter de la fraicheur à leur soupe. Déliceux et rapide comme toutes les soupes. Hier, je suis allée rendre visite à la boutique de M. Hermé. Il y avait bien 6 mois que je n’y étais allée mais étant dans le quartier, l’occasion fait le larron. Cela m’a permis de goûter aux nouveaux macarons : marron et thé matcha (super bons), pamplemousse confit et wasabi (top), chocolat Pure origine Mexique (dément pour les amateurs de chocolat), caramel beurre salé (un classique mais ceux de ladurée sont meilleurs), noisette et truffe blanche (inimitables). J’ai testé aussi l’Arabella : chocolat, banane et fruits de la passion avec de gros morceaux de gingembre confit (délicieux mais trop de gingembre confit selon moi) et le Désiré : crème citron et fraises des bois sur sable breton (un peu plat). Enfin si vous êtes dans le quartier de Saint-Sulpice, je vous conseille ausssi le salon de thé de la Maison de la Chine, collé à la boutique Shanghai tang. Dépaysement garanti.

Source: veryeasykitchen.blogspot.com

Il arrive que l'année de bep se termine. Il arrive que l'examen soit passé ( pratique : tarte aux pommes : OK, brioche nanterre : OK, entremets bavaroise : OK ; théorie : décrire avec foisonnement de détails le processus ô combien complexe du lavage de mains en bonne et due forme : OK) Il arrive que les vacances arrivent. Une semaine, jours comptés pour profiter, déguster, se reposer, se laisser aller. Pour commencer, on pouvait difficilement mieux faire : trois jours à la Colline du Colombier , blottis dans une des trois cadoles de Michel et Marie-Pierre Troisgros, sur les hauteurs d'Iguerande, à quinzaine de kilomètres de Roanne. Une cadole, comme une niche sur la nature, dans la nature du pays Charollais, une petite maison sur pilotis, de bois, de laine et de toile. Une cabane (très) améliorée, en somme. Après des heures de route, de sommeil et d'engourdissement, nous arrivons au panneau : Colline du Colombier. Elles sont là devant nous, plus ahurissantes encore que nous en avions rêvé, perchées à flan de colline, imposantes d'élégance et d'épure. J'entre, excitée comme une puce, mais soudain la nature du lieu devient envahissante ; la chambre est une son alcôve tissée de cordage, délicatement éclairée par deux hublots, d'où l'on aperçoit les deux autres cadoles sans jamais être en vis-à-vis. La sensation d'être protégé, d'être bien, de retrouver un cocon fœtal, un sein. Le sentiment est si fort que l'émotion me submerge littéralement. Hors du commun, hors du monde et hors du temps, c'est un écrin originel. Notre premier réflexe et notre première envie est de retirer nos chaussures, d'entrer en contact avec le lieu, de ressentir le bois. Le premier soir, nous vivons un merveilleux orage, abrités sur la terrasse. Nous resterons là trois jours, rythmé par des nuits de sommeil profond, des champs d'oiseau, des balades sur les chemin, des siestes réparatrices , des panier garnis du petit-déjeuner : cakes moelleux, confitures maison, pain craquant, fruits frais et colorés, jus de fruit exceptionnels. Michel et Marie-Pierre Troigros font plus qu'offrir un gîte moderne et confortable, ils créent un lieu unique, bien loin d'une certaine nostalgie campagnarde, un refuge en harmonie avec l'environnement et fidèle à leur univers de simplicité, alliant art, architecture, design et respect des lieux, restés dans leur jus. Au Grand Couvert, l'immense pièce qui abritait le bétail a été a peine retouchée pour se faire auberge. La pierre et le bois se mêlent au béton, d'immense lustres en verre structurent la hauteur. On s'attable devant une cuisine d'esprit campagne, des omelettes, des salades fraîches et vives, des viandes exquises ; on se délecte de meringues on ne peut plus sexy avec leur forme de sein et leur petite noisette, fragiles et délicates, à la coque à peine séchée et au cœur onctueux. Tout comme les cakes du petit-déjeuner, les nourritures sont dépouillées et essentielles, simplement faites avec passion et amour ; et parsemées des herbes qui poussent dans le jardin : menthe poivrée, thym citron, absynthe, sauge ... Sur le barbecue aux sarments de vigne, notre côte de bœuf (1 kilo ...) est éventée avec soin et attention par Cédric, le jeune chef venu du Central, l'annexe bistrot de Roanne. Les serveuses et cuisiniers ont d'ailleurs tous le sourire aux lèvres, comme portés par l'atmosphère paisible des lieux. On serait restés encore un peu dans ce petit paradis, à rêvasser, lire, dormir, manger, vivre ... Alors on reviendra se ressourcer, on reviendra s'échapper dans ce lieu fait exclusivement pour les amoureux. On reviendra, on viendra même de plus loin : de Londres, où je pars m'installer prochainement. Mais c'est une autre histoire. Quelques autres photos, nourriture des yeux ... La Colline du Colombier 71340 Iguerande 03 85 84 07 24 www.troisgros.fr

Source: tronchedecake.blogspot.com

C'est dans un petit village situé en région liégeoise, à Soheit-Tinlot (Wallonie, Belgique) que se trouve ce très joli restaurant appelé Le Coq au Champs . Après déjà deux visites mémorables, il y a quelques années, c'est donc avec beaucoup d'enthousisame et d'attentes que nous sommes retournés profiter des nouvelles créations de Christophe Pauly , jeune chef coq talentueux et bien inspiré. Après quelques passages parmi les tous grands de la restauration, dont Troisgros, il a en effet repris, il y a maintenant environ 7 ans, cet adorable restaurant, en compagnie de son épouse et ne cesse, depuis, de grandir en qualité et en prestige. Petite ballade gourmande et créative donc en campagne condruzienne... Le cadre est très lumineux, nappes blanches et serviettes blanches, murs gris clair tacheté de quelques touches de rouge venant des tableaux d'artistes (Mi Van Landuyt) représentant des ... coqs ! A table, des grissinis accompagnés d'une sauce crémeuse et des olives noires nous attendent. La maison propose, en apéritif, une coupe de champagne avec une crème de mûre. Ici, servi sur demande, sans la crème de mûre. Le menu. Le 4 services (voir photo ci-dessus, sans le point rouge) est proposé à 50€ + 25€ vin compris et le 5 services 65€ + 35€ pour les vins. Avec le champagne, viennent d'abord les mises en bouches: Parmentier de joues de porc au curry Madras. Très savoureux! Les joues de porc sont très moelleuses et l'émulsion de pomme de terre délicate. J'adore! Panisse aux olives taggiasche (spécialité ligure à base de pois chiche) Cela ressemble en fait à de la polenta mais en plus crémeux. Excellente association avec les olives, elles aussi particulièrement goûteuses. Scampi en tempura, brunoise de concombre et mayonnaise soja et ail torréfié. Délicieuse petite japanese touch! Les mises en bouches sont très réussies! Nous apprécions tous! Le pain: ressemblant à des mini cakes, très aéré, un peu comme une éponge, et plein de bons goûts! Vient ensuite la première entrée. Huîtres Gillardeau : racines de chez Ben/seigle/jus et épices pékin style. N'étant pas une fan des huitres , j'étais néanmoins curieuse de la découvrir. On goûte une huitre d'excellente qualité, bien charnue avec beaucoup de goût et parfaitement associée aux fines tranches de racines...mais cependant, l'huître n'en devient toujours pas pour autant ma grande amie...un jour peut-être! La seconde entrée est: St- Jacques de Dieppe : chou-fleur/estragon/bouillabaisse/gomasio de noisettes/jambon Bellota. J'ai particulèrement apprécié les petits cubes de gelée d'estragon qui donnaient subtilement leurs saveurs au plat. L'association classique du fumé et des st-jacques était très réussie. Peti bémol malgré tout à ce stade du repas, la cadence des vins et des plats qui s'enchaînent un peu trop rapidement à notre goût. Mais il faut dire qu'on aime prendre notre temps et qu'après l'avoir simplement signalé, la suite nous a été servie à un rythme moins soutenu. Le plat principal: Noisettes de chevreuil du pays : poire conférence/céleri rave/crumble de lard fumé/ jus d’oignons caramélisés au malt. Mon coup de coeur de la soirée. Le goût bien respecté et la cuisson parfaite du chevreuil, contrebalancé par des accompagnements particulièrement délicats et réussis. Le tout, servi avec un vin dont le nom ne risque pas de se perdre dans mon carnet de note. Un délicieux Pic Saint-Loup composé de syrah et grenache, appelé...Le champ du coq! Bref, un grand moment de saveurs! Ensuite, on nous amène la carte des fromages. L'un de nous optera pour la Fourme d’Ambert : cuisinée en beignet/poire rôtie/réduction de Maury N'aimant pas les fromages bleus, j'ai néanmoins voulu goûter cette jolie présentation...et je ne saurais vous en dire plus car je n'aime définitevement vraiment pas le bleu!! Après ce petit interlude fromager vient,le, ou plutôt, les desserts: Gourmandises : idée Kinder (forêt noir 2009/2010)/crème brûlée, pamplemousse, pistaches/bonbon violette Une coque en chocolat Valrhona nous est servie accompagnée d'une sauce au chocolat chaud versée dessus, devant nous. Tel un Kinder surprise, la coque une fois cassée, dévoile un très agréable mélange de chocolat, cerise , et crème, inspiration Forêt Noire. Délicieux! En même temps, nous recevons une crème brûlée avec un confit de pamplemousse et une éponge de pistache ainsi qu' un sorbet à la violette , très frais et très... violette! Mon préféré va au Kinder dont les textures, la présentation et bien entendu les saveurs m'ont beaucoup plu! Petite remarque néanmoins par rapport au dessert, j'aurais préféré ne pas recevoir ces trois desserts en même temps mais plutôt séparément pour en apprécier plus particulièrement leurs originalités et leurs parfums. Ceux-ci n'ayant en effet,selon moi,pas vraiment de lien entre eux. Ceci dit, le tout demeure vraiment très bon et plein de surprises! Viennent, en fin, pour accompagner nos thés, les mignardises ! Fausse raviole de framboise à la vanille et crunchy . Délicieux!! On goûte vraiment bien la framboise et avec la vanille, l'association est parfaite. En soulevant la raviole de framboise, on découvre ensuite un panna cotta au miel, Golden et Calvados . Le préféré de mes camarades gourmands! Avec cela, une petite sucette au chocolat Valrhona fourrée d'une crème... caramel je crois... Mais encore, mini financier et meringue ! Moelleux et crémeux à la fois...Très bon! Et enfin, ces délicates tuiles à la gruée de cacao et au caramel salé ! Miam miam!!! Excellente touche finale! On termine donc comme on a commencé...délicieux et créaif! En résumé, on est sorti du champ de ce grand coq plein de bons souvenirs dans la bouche et les yeux et avec déjà l'envie d'y retourner très vite! (Dommage d'ailleurs que le chef ne soit passé en salle pour qu'on puisse le féliciter!) Bonne continuation! CoCoricoooo! Le Coq aux Champs Rue du Montys 71 4557 Soheit-Tinlot T. 085/51 20 14 http://www.lecoqauxchamps.be/

Source: squisitoo.blogspot.com

Le vernissage de l'exposition " Préliminaires " autour de quatre designers m'a permis de découvrir un nouveau thé de la gamme " bien-être " chez Kusmi Thé , " Sweet Love ", qui nous a été offert, aux délicats arômes d'épices et de graines de Guarana. Ce thé noir de Chine, mélange de racines de réglisse et de poivre rose, et au parfum enivrant, est une boisson idéale pour les après-midi pluvieux d'hiver. Il a été suivi par un cocktail Warm Up , délicieux Bloody Mary chaud, mélange de tomates, gingembre, vodka et jus de framboise, réchauffant corps et âme, accompagné d'un bagel moelleux aux épices, "à toucher avant de goûter". Nous devons cette merveille au chef étoilé Lionel Beccat , travaillant pour Troisgros au Japon.

Source: melopapilles.blogspot.com

Ma recette chrono evergreen… Saumon à l’oseille, plat grand classique originaire de Troisgros (photographie aussi chrono iphone…) Saumon à l’oseille, riz sauvage (cette fois ci quasiment adaptée de la recette de Chef Damien, 750g) Servir 2 Ingrédients 2 pavés de saumon 1 filet d’huile d’olive Jus d’un ½ citron Sel et poivre du moulin 1 échalote 20g de beurre 5 cl de vin blanc sec 15 cl de crème fraîche liquide 1 bouquet d’oseille 1 bouquet de persil plat 100g de riz mélange 3 riz Mariner le saumon avec un filet de l’huile d’olive, le jus de citron, le sel et le poivre. Faire revenir l’échalote hachée dans une petite casserole avec le beurre. Ajouter le vin blanc sec et le laisser réduire à feu doux. Ajouter la crème fraîche et assaisonner. Ajouter l’oseille et le persil. Mixer aussitôt. Faire cuire le riz selon l’indication dans le paquet. Dans un poêle antiadhésif, saisir le saumon à feu vif  3 min chaque côté. Disposer le riz chaud au fond des assiettes et poser le saumon sur le riz. Saucer avec la sauce à l’oseille. What shall we eat tonight...? O        o

Source: delicesetcaprices.blogspot.com

Vu comme ça on dirait un tartare de bœuf et son œuf ou encore de la cervelle (que je regrette de n'avoir pas fait pour Halloween d'ailleurs...). Et bien non, c'est ici un très savoureux et crémeux risotto à la betterave (et son beurre blanc). Une délicieuse recette de Michel Troisgros . LA RECETTE DU RISOTTO A LA BETTERAVE : La liste des courses : 4 betteraves cuites 10cl de vin blanc sec 1 échalote ciselée 60g de beurre frais 1 litre d'eau minérale 1 tablette de bouillon de légumes 1 oignon haché 200g de riz canaroli (rond à risotto) 20g de parmesan sel, poivre Peler la betterave et la passer à la centrifugeuse pour récupérer le jus (personnellement j'ai trouvé que cela faisait vraiment trop peu alors j'ai aussi ajouté quelques bonnes cuillères de pulpe bien fine récupérée dans le bol de la centrifugeuse. Dans une petite casserole, verser la vin et le faire réduire avec l'échalote. Baisser le feu, ajouter 50g de beurre en plusieurs fois en fouettant. Assaisonner. Verser quelques gouttes de vin. Réserver. Dans une autre casserole, porter à ébullition l'eau et le bouillon de légumes. Dans une sauteuse, faire revenir l'oignon dans 10g de beurre. Verser le riz. Mouiller avec deux louches de bouillon et baisser le feu pour laisser gentiment bouillonner. Laisser cuire environ 15 minutes en arrosant de bouillon régulièrement. Lorsque tout est absorbé, ajouter peu à peu le jus de betterave. Incorporer le parmesan et la moitié du beurre blanc. Assaisonner. Servir avec le reste de beurre blanc.

Source: dismamanonmangequoi.blogspot.com

Il y a quelques semaine j'ai été invité avec plein d'autres auteurs culinaire à Roanne au salon Savoirs et Saveurs. Le soir, nous avons été invités à diner chez Troisgros, au Grand Couvert, un restaurant magnifique en pleine campagne. Comme vous vous en doutez déjà, il y avait des pommes dauphine et cela faisait vraiment longtemps que je n'en avais pas mangées... J'ai donc eu envie d'en refaire en arrivant à la maison et voilà !! Je vous propose la recette. Un délice avec une viande juste saisie, des épinards à la crème et un bon verre de vin rouge... Recette des pommes dauphine: Pâte à choux: -75ml d'eau -75ml de lait -150ml d'œufs (il faut un volume pour que la pâte à choux réussisse! cela fait environ 3 œufs) -85g de farine -65g de beurre demi-sel -5g de sel Purée: -200g de chair de pommes de terre cuite -25g de beurre demi-sel Faites cuire vos pommes de terre à la vapeur. Épluchez-les et passez-les au presse-purée ou écrasez-les soigneusement à la fourchette. Vous devez obtenir une purée assez lisse. Pesez-en 200g et mettez les dans une casserole dans les 25g de beurre demi-sel. Faites chauffer sur feu modéré pendant 5 minutes pour l'assécher un peu. Réservez cette purée et préparez la pâte à choux. Mettez le lait, l'eau, le beurre demi-sel et le sel dans une casserole. Portez à ébullition sur feu doux. Ajoutez la farine d'un coup hors du feu. Mélangez bien (même assez vivement!!) puis remettez sur feu doux pendant 1 minute afin d'assécher la pâte. Il faut mélanger constamment. La pâte va se détacher du fond de la casserole. Versez la pâte dans un bol. Ajoutez les 150ml d'œufs battus petit à petit sur la pâte. Mélangez bien avant d'ajouter le reste des œufs. Mélangez de façon énergique pour homogénéiser le tout. Ajoutez la purée et mélangez de nouveau. Faites chauffer une casserole d'huile. Quand l'huile est assez chaude, prélevez une cuillerée à café de pâte et faites-la tomber en vous aidant d'une deuxième cuillère. Faites frire les pommes dauphine jusqu'à ce qu'elles se colorent bien. Mettez-les au fur et à mesure sur du papier absorbant. Dégustez-les encore bien croustillantes avec une viande et des épinards à la crème par exemple... Pour les recettes inédites contenues dans mon premier livre, c'est par ici:

Source: lesrecettesdebernard.blogspot.com

C'est la saison , dans mon jardin l'oseille abonde à nouveau (non ça ne veut pas dire que mon jardinier est riche ^^ ) , l'oseille c'est cette petite plante à feuilles verte acidulées , qui ressemble un peu aux épinards , son gout acide fait merveille avec le saumon , dans une sauce crémeuse et riche à base de crème liquide et de mascarpone (ma touche perso pour ce grand classique ) . En effet c'est un des grands classiques de la cuisine Française époque nouvelle cuisine (années 60-70 ) , mise à l'honneur chez les frères Troisgros ( qui n'étaient que deux et pas si gros que ça ^^ ). En principe le saumon est en escalope (taillé en biais dans le filet donc) , mais comme j'avais seulement des pavés sans peau j'ai transigé avec la recette originale , plus le saumon est coupé fin plus vite il cuit , et c'est vraiment ce qui fait l’intérêt de cette recette , le temps de faire cuire le riz ce sera prêt. Pour 4 personnes vous aurez besoin de : - 4 escalopes ou a défaut 4 pavés pas trop épais - 30 grammes de beurre - 2 petites échalotes hachées finement - 10 cl de vin blanc sec (Sancerre) - 5 cl de martini blanc - 250 grammes d'oseille - 10 cl de crème liquide - 100 grammes de mascarpone - 180 grammes de riz thaï jasmin - 1 bouillon cube de légumes - sel et poivre du moulin Lavez et équeutez l'oseille. En équeutant ôtez la nervure centrale , puis déchirez les feuilles à la main en deux ou trois suivant la taille des feuilles . Faites fondre le beurre avec l'échalote hachée salez et poivrez , ajoutez 10 cl de sancerre+ 5 cl de martin blanc (ou 15 cl de bouillon de légumes) dans une sauteuse. Laissez réduire presque à sec ajoutez y la crème et le mascarpone ajoutez l'oseille et laissez la se flétrir , cela va très vite . Ne remuez pas trop sinon l'oseille va se réduire en purée. Si vous ne trouvez pas d'oseille vous pouvez envisager de réaliser ce plat avec de jeunes pousse d'épinards et un trait de vinaigre ou de citron . Faites bouillir l'eau avec le bouillon cube de légumes et du sel , faites cuire le riz en cuisson créole pendant 12 minutes . Laissez mijoter la sauce à feu doux le temps de cuire le saumon. Poêlez le saumon que vous aurez salé et poivré sur la face qui ne se voit pas au service , à sec dans une poêle anti adhésive très chaude , une à deux minute par face (suivant l'épaisseur) , le cœur doit être encore rosé. Égouttez le riz , déposez le dans l'assiette , puis déposez l'escalope de saumon , couvrez de sauce à l'oseille. (en principe on pose la sauce à l'oseille et on dépose le saumon dessus , mais la sauce chaude continue de cuire le saumon et j'aime bien quand il est couvert de sauce ^^ ) Servez immédiatement. Régalez vous.

Source: keskonmangemaman.blogspot.fr

C'est un peu ma marotte du moment : cuisiner des produits du Limousin. Cette fois, un peu au hasard d'une rencontre, je me suis attaquée au Cul noir limousin . Non, je n'ai pas perdu toute retenue dans mon langage... C'est tout simplement le nom d'une race de porc du sud de la Haute-Vienne qui après avoir été proche de la disparition est en train de revenir doucement sur le devant de la scène (même les grands chefs comme Pierre Troisgros vantent ses qualités gustatives). Petit retour sur ce cochon dans lequel tout est vraiment bon. Il a été délaissé pendant des années pour ce qui fait toute sa renommée à l'heure actuelle : c'est un petit porc qui fait beaucoup de gras (donc pas très rentable pour les industriels). Élevé en plein air, il se nourrit notamment de châtaignes (autre symbole de la région) ce qui participe grandement à son goût. La production étant limitée, il est souvent difficile de trouver la viande à l'état brut (vous trouverez beaucoup plus facilement du jambon ou des pâtés) et son prix - même directement chez le producteur - reste très élevé. Mais je vous assure que le jeu en vaut la chandelle et que ça n'a rien à voir avec la viande de porc que l'on trouve habituellement. Ici, la viande est accompagnée d'une purée assez simple mais savoureuse : des choux-fleurs et de la tome (presque un aligot ;-) Bon dimanche à tous :-) Porc Cul Noir et Purée de Choux-Fleur à la Tome (pour 2 personnes) 2 belles côtes de porc Cul-noir limousin 1 CS d'huile d'olive Poivre Sel Pour la purée de choux-fleur : 400 g de choux fleur (environ la moitié d'un gros) 1 grosse pomme de terre (environ 120 g) 100 g de tome fraîche 20 g de beurre Préparer la purée. Laver la pomme de terre, l'éplucher et la découper en gros cubes. Laver le choux-fleur et le détailler en petits bouquets. Faire bouillir une grande quantité d'eau. Lorsqu'elle arrive à ébullition, saler et y plonger la pomme de terre et le choux-fleur. Laisser cuire une bonne quinzaine de minutes, jusqu'à ce que les légumes deviennent tendres. Égoutter les légumes, les réduire en purée et ajouter la tome coupée en dés en mélangeant bien afin qu'elle fonde. Remettre la casserole contenant la purée sur le feu et ajouter le beurre tout en mélangeant jusqu'à ce que la purée devienne homogène. Tenir au chaud. Préparer les côtes de porc. Les sortir du réfrigérateur quelques minutes avant de les cuire. Saler et poivrer la viande de chaque côté. Faire chauffer à feu vif une poêle anti-adhésive. Mettre un peu d'huile d'olive dans le fond et saisir les côtes de porc 5 minutes d'un côté puis 5 minutes de l'autre. Baisser le feu et couvrir la poêle d'un couvercle afin que la viande reste la plus tendre possible. Servir les côtes de porc avec la purée et le jus de viande.

Source: petite-cuilliere-et-charentaise.blogspot.com

Des mélanges de saveurs détonnant pour ce velouté que j'ai voulu tester ce soir ! Dans la recette de Mr TROISGROS il s'agit d'un velouté à la crème fleurette, d'une écume de crème sur le dessus, des amandes effilées et de la fourme d'ambert émiettée. J'ai cuit mon velouté au bouillon de légumes, pour l'écumer ensuite avec de crème citronnée. Pour 2 tasses de velouté : - 250 g de topinambours - 1 l de bouillon de légumes - un filet de jus de citron, - 1 c à s de crème légère - une pincée de poudre d'amande ou amandes effilées - 30 g de forme d'Ambert émiettée Préparation : * éplucher et couper les légumes en morceaux * les mettre à cuire 40 mn dans le bouillon, saler et poivrer * mixer le velouté * fouetter la crème avec le jus de citron pour former une écume * dresser le velouté, l'écumer, les amandes et la fourme. C'est doux avec de la puissance, très bon !

Source: ligneetplaisir.blogspot.com

Ecrit et réalisé par Very Easy Kitchen Je voulais faire un dessert un peut « hot » pour clôturer l’hiver et commencer à célébrer le printemps. Les premières fraises sont sur les étals et j’avoue déjà avoir craqué. Ce dessert est un assemblage (pas de cuisson ou préparation longue) mais il vous faudra impérativement des meringues suisses et de la crème double de Gruyères (canton de Fribourg). Vous en trouverez chez les très bons crémiers et quelques épiceries fines. Sur Annecy on en trouve chez Pierre Gay MOF fromager et aussi chez O’Terra. Les meringues suisses de Gruyères sont très légères et aérées. Elles sont divines avec de la crème double de la même région qui doit contenir au minimum 50% de matières grasses. Malgré la simplicité de ce dessert, ce sont ces deux ingrédients qui en font autant la délicatesse que la gourmandise. La recette est de César Troisgros, digne héritier de la dynastie. Vous pouvez bien sûr la déguster avec d’autres fruits et sans alcool (avec des framboises ce dessert est une merveille). Impossible de trouver des oranges sanguines sur le marché, j’ai donc pris une orange navel et j’ai rajouté pour un esprit encore plus brésilien, une belle mangue. Je vous donne la recette telle qu’elle a été imaginée par César. Meringue passionnée de César Troisgros Pour 4 personnes 4 meringues suisses de Gruyères 1 pot de crème double de Gruyères 1 orange sanguine 2 fruits de la passion 1 pouce de gingembre 1 citron vert De la cachaça Pelez l’orange à vif et coupez-la en tranches fines. Taillez le gingembre en brunoise.Cassez grossièrement les meringues dans deux coupelles avec le dos d’une cuillère. Déposez sur chacune 1 cuillère de crème fraîche, parsemez de gingembre et recouvrez avec les tranches d’orange. Coupez les fruits de la passion en deux. Déposez la pulpe sur les tranches d’orange. Terminez avec un trait de cachaça et parsemez de zeste de citron

Source: veryeasykitchen.blogspot.com

Voici une recette d'un chef triplement étoilé Michelin que même nous sommes capables de préparer. Cette omelette pourrait figurer sur un menu de Pâques. En plus elle est très économique et antigaspi car on peut utiliser 2 blancs d'œuf qu'on a conservés d'une autre recette au congélateur. Si vous voulez la présenter comme le Chef César Troisgros commencez par mariner les légumes. Ingrédients pour 2 personnes: 2 jaunes d’œufs 4 blancs d’œufs 20 g de farine 150 g de lait 20 g de beurre 150 g fourme d'Ambert Pour la garniture : 2 oignons de printemps 3 radis quelques fleurs comestibles (en option) Préparation : Préchauffer le four à 180° Dans une casserole, mettre du lait et du beurre, puis porter le tout à ébullition Séparer les blancs et les jaunes d’œufs Ajouter un peu de farine aux jaunes d’œufs puis ajouter le mélange de lait et de beurre et fouetter le tout Mettre cette préparation sur le feu, continuer à battre le mélange jusqu’à épaississement de celui-ci Monter les blancs en neige Incorporer délicatement les blancs en neige aux œufs et mélanger doucement Démarrer la cuisson de la préparation dans une poêle beurrée jusqu'à ce que le fond soit doré Enfourner ensuite à 180° pendant environ 3 minutes pour sécher les dessus de l'omelette Laisser reposer l’omelette dans la poêle pendant 4 minutes Mettre le Fourme d'Ambert sur une moitié de l'omelette, puis la plier Pour la garniture : Couper radis en 4, saler, laisser 10 minutes puis rincer Nettoyer les oignons de printemps Mariner les légumes au moins 1 heure dans vinaigre blanc, eau minérale, miel et un peu de sucre Dresser l'omelette avec les légumes marinés J'ai ajouté quelques fleurs comestibles pour la couleur. Pour voir la vidéo de la recette c'est ici

Source: theblogdeclementine.blogspot.fr/search/label/recette

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